L’Allemagne se remet difficilement de la première guerre mondiale. L’industrie cinématographique a du mal à rivaliser avec les productions d’hollywood. Pour compenser ce manque de moyens, les cinéastes mettent en scène des décors abstraits, aux motifs géométriques absurdes, des dessins sur les murs et les sols et surtout les jeux importants entre l’ombre et la lumière.
Les sujets sont la folie et autres troubles mentaux, la trahison et le fantastique, à l’opposé des thèmes romanesques et d’aventures traités par Hollywood. Les acteurs « sur jouent » la comédie pour amplifier le caractère dramatique.